Foire aux questions - Achat et vente d'une propriété ou terrain

ACHAT d'une propriété - Questions pertinentes à se poser !

Assurance protection Via Capitale

Certificat de localisation

Le certificat de localisation est principalement composé d’un plan et d’un rapport dans lequel l’arpenteur-géomètre exprime son opinion sur la situation et la condition actuelle d’une propriété par rapport aux titres, aux empiétements ainsi qu’aux lois et règlements qui peuvent la toucher. Consulter le site du gouvernement du Québec – Habitation et Logement

Vous y trouverez donc, s’il y a lieu, les servitudes, les zones inondables, les zones à risque ou encore les restrictions municipales empêchant l’installation d’une piscine ou d’un cabanon. Consulter le site du gouvernement du Québec – Habitation et Logement

Oui, un certificat de localisation est nécessaire à toute transaction immobilière. Consulter le site du gouvernement du Québec – Habitation et Logement. Pour plus d’informations sur le certificat de localisation, consulter le site de l’Ordre des Arpenteurs-Géomètres du Québec.

Vendeur / Acheteur / Notaire / Courtier immobilier.

  1. Arpenteur-géomètre agréé (que le vendeur doit payer) / Institutions financières (qui en fait la demande auprès d’un arpenteur géomètre agréé et qui le paie) ou le vendeur de la propriété.
  1. Les frais pour l’émission d’un certificat de localisation varient en fonction de la taille de la propriété, de la complexité des caractéristiques à documenter, et en fonction de la saisonnalité. En d’autres termes, le prix de leurs services peut fluctuer en raison des différentes périodes de l’année. Veuillez consulter le guide officiel abrégé des tarifs suggérés pour des services professionnels d’arpentage rendus selon le barème général de l’Ordre des Arpenteurs-Géomètres du Québec ou les contacter directement Cliquez ici.

L’obligation de fournir un certificat de localisation décrivant l’état actuel des lieux incombe au vendeur, c’est donc lui qui en supporte les frais de confection. Par ailleurs, si l’acheteur exige, dans le cadre de sa promesse d’achat, la confection d’un nouveau certificat et que celui-ci ne révèle aucune modification par rapport au certificat précédent, sa confection sera à la charge de l’acheteur. Pour en savoir plus voir le site OACIQ cliquez ici.

Si votre certificat de localisation date de plus de 10 ans, votre courtier vous informera, dès la signature du contrat de courtage, de la nécessité de mandater un arpenteur-géomètre afin de préparer un nouveau certificat, et ce, même s’il décrit l’état actuel de l’immeuble. En effet, lors de la vente, le notaire en exigera un nouveau en raison de la prescription de dix ans prévue à l’article 2917 du Code civil du Québec. Pour plus de détails, voir le site OACIQ cliquez ici.

Avant de faire affaire avec un arpenteur-géomètre, vous assurez qu’il est bien membre de l’ordre des Arpenteurs-Géomètres du Québec (OAGQ). Pour valider, visiter le site officiel en entrant les informations de l’arpenteur cliquez ici.

L’assurance titres est une assurance de dommages. Elle a pour but d’indemniser l’assuré qui subit des dommages suite à la réalisation d’un risque couvert, jusqu’à concurrence du montant de la couverture. Elle ne corrige pas l’irrégularité; celle-ci subsiste, et l’assureur n’interviendra que si l’assuré subit un dommage. Veuillez consulter le site APNQ pour plus de détails et exemple.

Inspection d'une propriété

Faire une inspection est fortement recommandé.

La loi ne vous oblige pas à retenir les services d’un inspecteur. Mais elle vous oblige d’agir avec prudence et diligence. Lorsqu’une promesse d’achat est présentée à un vendeur, elle est souvent accompagnée d’une clause qui prévoit une inspection de la résidence avant de finaliser la transaction. Cette étape est importante : elle vise à inspecter visuellement l’immeuble pour permettre de déceler des défauts apparents. Cette inspection pré-achat permet de découvrir certains problèmes qui vous auraient échappé lors d’une première visite de la résidence. Si à la lecture du rapport d’inspection des déficiences importantes sont soulevées par l’inspecteur, vous pourrez alors renégocier le prix d’achat, faire effectuer les correctifs nécessaires ou dans certains cas annuler votre promesse d’achat. Attention : cette inspection n’est pas une garantie contre les vices! Les vices « cachés » ne seront pas décelés même avec les appareils les plus sophistiqués qui existent, à moins de dégarnir le revêtement qui l’enveloppe, mais avec des yeux bien aiguisés, des indices visibles pourront être constatés par votre inspecteur. Pour plus d’informations, voir le site Association des inspecteurs en bâtiments du Québec.

Inspecteur en bâtiments ou professionnels détenant un titre en règle (ex. : un architecte, un technologue en bâtiments ou un ingénieur en bâtiments) et qui respectent certaines exigences. Associations en règle.

Utiliser l’outil de recherche en ligne AIBQ ou contactez-moi pour plus d’informations.

Vous pourriez acheter une propriété avec des problèmes coûteux à réparer, ce qui pourrait causer des surprises financières après l’achat.

Ce que l’inspecteur fera:

Un inspecteur reconnu évaluera tout ce qui est visible : structure, toiture, plomberie, électricité, chauffage, ventilation, etc. Ceci vous permettra de connaître l’état de l’immeuble convoité et d’identifier les réparations nécessaires.

Il ne pourra toutefois se prononcer sur ce qu’il ne voit pas.
Par exemple, il ne pourra pas déterminer si les installations de chauffage sont conformes à la réglementation de la municipalité. Cependant, il pourra vous recommander de retenir les services d’un professionnel ayant les compétences pour le faire. Voir l’article OACIQ sur le site Protégez-vous.ca: Réduisez les risques : faites inspecter!

La personne qui vend un meuble ou un immeuble est tenue de garantir qu’il est exempt de tous vices de titres et de tous vices cachés, sauf ceux dénoncés avant la vente. C’est ce qu’on appelle, de façon générale, la « garantie légale » qui comporte deux volets : la garantie du droit de propriété et la garantie de qualité. Ces garanties existent par le seul effet de la loi, c’est-à-dire sans qu’il soit nécessaire de les prévoir au contrat.

  1. Acquérir une propriété sans garantie légale signifie que vous achetez l’immeuble dans l’état où il se trouve, sans possibilité de recours contre le vendeur en cas de vices cachés. Si malgré tout vous souhaitez mener la transaction à bien, assurez-vous de faire inspecter l’immeuble par un professionnel qualifié. Voir le site Chambre des notaires du Québec.

Questions à se poser avant l'achat d'un terrain

Où est situé le terrain ?

L’emplacement est crucial. Assurez-vous qu’il répond à vos besoins et attentes.

Quelle est la taille du terrain ?

La taille du terrain influence ce que vous pouvez construire. Vérifiez si elle convient à vos projets.

Le terrain dispose-t-il de services publics tels que l’eau, l’électricité, le gaz naturel et les égouts ?

Ces services sont essentiels pour la vie quotidienne. Vérifiez leur disponibilité.

Quels sont les coûts associés à l’achat du terrain ?

Les coûts d’acquisition vont au-delà du prix d’achat. Connaître tous les coûts est essentiel.

Y a-t-il des conditions particulières à l’achat de ce terrain au Québec ?

Le Québec peut avoir des réglementations spécifiques. Informez-vous à ce sujet.

 

Existe-t-il des restrictions environnementales ou des problèmes de contamination sur le terrain ? Les problèmes environnementaux peuvent entraîner des coûts importants. Soyez au courant.

Y a-t-il des règles spécifiques sur la végétation et les arbres sur le terrain ? 

Certaines zones ont des règles strictes sur la préservation de la végétation.

Quel est l’historique du terrain en termes de litiges ou de problèmes juridiques ?

Les litiges passés peuvent affecter la propriété. Faites des recherches.

L’accès au terrain est-il facile, et quelle est la distance aux routes principales ? 

L’accès doit être pratique pour vos besoins. Évaluez la distance aux routes principales.

Le terrain est-il situé dans une zone de protection de l’environnement ? 

Les zones de protection de l’environnement peuvent avoir des restrictions supplémentaires. Renseignez-vous sur les réglementations en vigueur.

Le terrain est-il équipé d’un puits d’eau ? 

Les puits d’eau sont souvent utilisés pour l’approvisionnement en eau. Assurez-vous de vérifier si le terrain en est équipé et renseignez-vous sur la qualité et la profondeur du puits. Si le terrain dispose d’un puits d’eau, il est essentiel de connaître sa profondeur, sa qualité et s’il est conforme aux réglementations locales. Les puits nécessitent un entretien et des tests réguliers pour garantir la qualité de l’eau.

Y a-t-il des règles sur la collecte d’eau de pluie ou d’eaux grises sur le terrain ? 

Si vous envisagez de collecter de l’eau de pluie ou d’eaux grises, comprenez les règles locales qui s’appliquent.

Quelles sont les exigences en matière de qualité de l’eau potable pour le terrain ? 

La qualité de l’eau potable est essentielle. Connaître les exigences locales est important pour votre santé.

 

 

 

Risques et Sécurité

Quels sont les risques naturels et les risques de catastrophes naturelles associés à ce terrain ?

Les risques tels que les inondations ou les tremblements de terre doivent être pris en compte.

Y a-t-il des restrictions sur la construction, comme la hauteur maximale ou la couverture au sol ?

Les règles de construction peuvent limiter vos projets. Informez-vous.

Quelles sont les commodités à proximité ?

Les services essentiels, les écoles, les commerces, etc., sont importants pour votre qualité de vie.

Y a-t-il des restrictions sur la revente future du terrain ?

Certains terrains ont des restrictions de revente. Vérifiez ces limitations.

Quelles sont les caractéristiques du sol sur le terrain ?

La qualité du sol peut influencer la construction et les fondations.

  • Est-ce que le sol est contaminé? Le faire décontaminé pourrait vous occasionner des frais importants.
  • Y a-t-il déjà eu des tests de sols effectués? Informez-vous!
  • De quel type de sols est composé le terrain? Est-ce qu’on peut mettre un bâtiment sur ce type de sol?

Zonage et Utilisation

Quel est le zonage du terrain et à quelles fins peut-il être utilisé ?

Le zonage détermine ce qui peut être construit. Assurez-vous que cela convient à vos projets.

Le terrain est-il situé dans une zone inondable ?

Les inondations peuvent causer des dommages. Soyez conscient de la situation.

Le terrain est-il exposé à des risques sismiques majeurs ?

 

Les zones sismiques nécessitent une construction adaptée. Renseignez-vous sur les risques.

Y a-t-il des servitudes ou des droits de passage sur le terrain ?

Les servitudes peuvent affecter l’utilisation du terrain. Comprenez-les.

Le terrain est-il en pente, et quels sont les défis potentiels pour la construction ?

Les terrains en pente peuvent nécessiter des mesures spéciales de construction.

 

Qualité de Vie et Infrastructures

Quelle est la qualité de l’eau et de l’air dans la région ?

La qualité de l’environnement est essentielle pour la santé et le bien-être.

Le terrain est-il raccordable aux réseaux de télécommunication et Internet ?

La connectivité est essentielle de nos jours. Vérifiez la disponibilité des services de télécommunication et Internet.

Le terrain est-il situé dans une zone de bruit excessive ?

Le bruit peut affecter votre qualité de vie. Évaluez la situation sur le terrain.

Y a-t-il des projets de construction de routes ou d’infrastructures prévus dans la région qui pourraient influencer la valeur du terrain ?

Les projets d’infrastructure à venir peuvent affecter la valeur de votre terrain. Obtenez des informations à ce sujet.

Règlements Locaux

Existe-t-il des règles locales sur l’architecture et le design des bâtiments ?

Les règles de conception peuvent influencer l’apparence de votre propriété. Comprenez-les.

Y a-t-il des restrictions sur la taille ou la hauteur des bâtiments ?

Les restrictions de taille peuvent affecter la conception de vos bâtiments. Soyez au courant.

Y a-t-il des limites sur la distance entre les bâtiments et les voisins ?

Les règles de distance aux voisins peuvent affecter la disposition de votre construction. Soyez au courant.

Quelles sont les règles concernant les activités commerciales ou industrielles sur le terrain ?

Les activités commerciales ou industrielles peuvent avoir des restrictions spécifiques. Informez-vous.

Le terrain est-il sujet à des restrictions de servitude aérienne ?

Les restrictions de servitude aérienne peuvent limiter la construction de structures en hauteur. Informez-vous à ce sujet.

Contraintes Additionnelles

 

Le terrain est-il sujet à des restrictions de servitude aérienne ?

Les restrictions de servitude aérienne peuvent limiter la construction de structures en hauteur. Informez-vous à ce sujet.

Existe-t-il des exigences en matière d’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite ?

Si vous avez des préoccupations d’accessibilité, assurez-vous que le terrain répond aux exigences légales.

Le terrain est-il situé dans une zone de vol pour des aéronefs ou des drones ?

Les restrictions de vol peuvent s’appliquer. Vérifiez les réglementations locales.

Possibilité de location

Est-ce possible de louer, à court, à moyen et long terme le bâtiment sur ce terrain, que ce soit une maison résidentielle, un chalet ou un édifice commercial ? 

Il est essentiel de connaître les règlements locaux concernant la location à court, à moyen et à long terme de bâtiments sur le terrain. Ces règlements peuvent varier en fonction de la destination du bâtiment, que ce soit à des fins résidentielles ou commerciales. Assurez-vous de vérifier ces règlements avant de décider d’acheter un terrain.

Peut-on louer un terrain seulement à court terme?

Au Québec, la location de terrains à court terme, même sans bâtiments, est généralement possible, mais cela dépend des réglementations municipales, provinciales et locales, ainsi que des accords entre le propriétaire du terrain et le locataire. Voici quelques points à considérer :

  • Zonage : Le zonage municipal peut régir l’utilisation des terrains et peut déterminer si une utilisation commerciale ou de stockage à court terme est autorisée dans une zone donnée. Il est important de vérifier le zonage du terrain auprès de la municipalité locale pour vous assurer de la conformité.
  • Permis : Certains types d’activités peuvent nécessiter des permis ou des autorisations spéciales. Cela peut inclure des activités de stockage, de vente de bois, etc. Assurez-vous de vérifier auprès de la municipalité quelles autorisations sont nécessaires.
  • Contrat de location : Lorsque vous louez un terrain à court terme, il est essentiel d’établir un contrat de location décrivant les conditions, la durée, le loyer, les responsabilités des parties, etc. Ce contrat peut être essentiel pour protéger les droits et les intérêts des deux parties.
  • Responsabilités environnementales : Si vous envisagez de stocker du bois ou d’autres matériaux sur le terrain, vous devrez peut-être respecter des réglementations environnementales spécifiques en matière de gestion des déchets, de prévention des incendies, etc.
  • Assurance : Assurez-vous d’avoir une assurance appropriée pour couvrir les risques liés à l’utilisation du terrain. Cela peut être important en cas d’incident ou d’accident sur le terrain.
  • Taxes foncières : Le locataire peut être responsable du paiement des taxes foncières pendant la période de location, assurez-vous de clarifier ce point dans le contrat.

En résumé, la location de terrains à court terme au Québec est généralement possible, mais cela dépendra des réglementations locales et des accords entre les parties. Il est essentiel de se conformer aux réglementations en vigueur, de sécuriser un contrat de location approprié et de prendre en compte les questions d’assurance et de responsabilité pour protéger vos intérêts. Il est recommandé de consulter un avocat ou un conseiller juridique pour obtenir des conseils spécifiques à votre situation.

Exigences de stationnement

Quelles sont les exigences en matière de stationnement pour le terrain ?

Les exigences de stationnement peuvent affecter l’aménagement de votre propriété. Assurez-vous de les comprendre. Ces exigences font référence aux règles, aux réglementations ou aux normes établies par les autorités locales, généralement les municipalités, concernant la quantité, l’emplacement et les caractéristiques des espaces de stationnement requis pour les bâtiments, les installations ou les projets de développement. Ces exigences visent à garantir que des espaces de stationnement adéquats sont fournis pour répondre aux besoins des occupants ou des visiteurs d’un lieu donné tout en évitant la congestion routière et le stationnement désordonné.

Voici quelques points importants à comprendre concernant les exigences de stationnement :

  • Quantité de places de stationnement : Les autorités locales spécifient généralement le nombre minimal de places de stationnement nécessaires en fonction du type de bâtiment ou d’activité. Par exemple, les exigences en matière de stationnement pour un restaurant, un immeuble de bureaux, une résidence, un centre commercial, etc., peuvent varier en fonction de la taille et de l’utilisation prévue. Les normes sont conçues pour s’assurer qu’il y a suffisamment de places pour les visiteurs et les employés.
  • Emplacement : Les règlements de zonage peuvent préciser où les espaces de stationnement doivent être situés par rapport aux bâtiments ou aux zones d’activité. Par exemple, ils peuvent exiger que les espaces de stationnement soient situés à l’arrière d’un bâtiment ou sur le côté, ou qu’ils soient proches de l’entrée principale.
  • Accessibilité : Les exigences en matière de stationnement peuvent également inclure des normes d’accessibilité pour les personnes handicapées, notamment des places de stationnement réservées conformes à la loi.
  • Aménagement paysager : Certains codes peuvent exiger que les espaces de stationnement soient agrémentés d’aménagement paysager, d’arbres, de bordures, etc., pour améliorer l’esthétique du site.
  • Dimensionnement : Les espaces de stationnement doivent généralement respecter des dimensions spécifiques pour garantir qu’ils sont suffisamment spacieux pour accueillir des véhicules et permettre une circulation aisée.
  • Dérogations : Dans certaines situations, il est possible d’obtenir des dérogations ou des exemptions aux exigences de stationnement en fonction de certaines circonstances particulières, comme l’utilisation d’un espace partagé ou des options de transport en commun.

Il est essentiel de se conformer aux exigences de stationnement lors de la conception, de la construction ou de la rénovation de bâtiments ou de projets, car le non-respect de ces règlements peut entraîner des sanctions légales et des problèmes de circulation. Les exigences de stationnement peuvent varier d’une juridiction à l’autre, il est donc important de consulter les autorités locales ou un professionnel de l’urbanisme pour s’assurer de respecter les règlements en vigueur dans votre région.

Restrictions sur la végétation indigène

Le terrain est-il soumis à des restrictions de végétation indigène ? 

Les restrictions sur la végétation indigène peuvent affecter l’aménagement paysager. Renseignez-vous sur ces contraintes.
Ces restrictions, souvent appelées réglementations sur la végétation native ou naturelle, se réfèrent aux lois, règlements ou politiques qui régissent l’utilisation et la préservation des plantes indigènes d’une région donnée. Les plantes indigènes sont celles qui se sont développées naturellement dans une région sans être introduites par l’homme. Elles visent généralement à protéger la biodiversité locale, à préserver les écosystèmes naturels et à éviter la propagation de plantes envahissantes non indigènes. 

Voici quelques points importants à comprendre concernant les restrictions sur la végétation indigène :

  • Réglementations locales : Les restrictions sur la végétation indigène varient d’une région à l’autre. Les autorités locales, comme les gouvernements municipaux ou provinciaux, peuvent établir des lois et des règlements spécifiques pour protéger les espèces végétales indigènes.
  • Plantation et élimination : Ces règlements peuvent régir la plantation, l’élimination ou la taille des plantes indigènes. Dans certaines régions, planter des espèces non indigènes ou retirer des plantes indigènes peut nécessiter une autorisation spéciale.
  • Espèces protégées : Les réglementations peuvent inclure des listes d’espèces végétales indigènes considérées comme menacées, en danger ou protégées. Il peut être illégal de perturber, endommager ou récolter ces plantes.
  • Paysage et aménagement : Les réglementations sur la végétation indigène peuvent également influencer la manière dont les espaces extérieurs sont aménagés et entretenus. Par exemple, elles peuvent encourager l’utilisation de plantes indigènes dans l’aménagement paysager pour favoriser la faune locale et les écosystèmes.
  • Sensibilisation et éducation : Dans de nombreuses régions, il existe des programmes de sensibilisation et d’éducation visant à informer le public sur l’importance de la préservation de la végétation indigène et à encourager des pratiques respectueuses de l’environnement.

Il est important de se renseigner sur les restrictions spécifiques à la végétation indigène dans votre région. Le non-respect de ces règlements peut entraîner des sanctions légales, notamment des amendes. Avant d’entreprendre des projets d’aménagement paysager ou de modification de la végétation sur un terrain, il est conseillé de consulter les autorités locales, les organismes de protection de l’environnement ou les experts en écologie pour vous assurer de respecter les réglementations en vigueur. L’utilisation de plantes indigènes dans l’aménagement paysager peut également contribuer à la préservation de la biodiversité locale et à la protection de l’environnement.

Accès à l’eau

Le terrain est-il situé à proximité d’un accès à l’eau, comme un lac ou une rivière ? 

La proximité d’un accès à l’eau peut être un atout. Explorez les options d’accès à l’eau à proximité. La proximité d’un accès à l’eau, tel qu’un lac, une rivière, un étang ou un océan, peut être un atout important lors de l’achat d’un terrain pour plusieurs raisons. 

Voici quelques points à considérer :

  • Récréation et loisirs : L’accès à l’eau offre des opportunités de loisirs comme la baignade, la pêche, le canotage, le kayak, la planche à voile, la navigation de plaisance, et bien d’autres activités nautiques. Cela peut rendre le terrain attrayant pour les amateurs de sports nautiques et de plein air.
  • Beauté naturelle : La vue sur l’eau est souvent considérée comme pittoresque et apaisante. Vivre à proximité d’un plan d’eau peut offrir un cadre naturel exceptionnellement agréable, avec de superbes levers et couchers de soleil, ainsi qu’une faune diversifiée.
  • Potentiel de développement : Si le terrain est situé à proximité d’une zone d’eau populaire, il peut avoir un potentiel de développement commercial ou résidentiel accru. Les propriétés riveraines sont souvent recherchées, ce qui peut influencer la valeur du terrain.
  • Valeur de revente : Les biens immobiliers avec accès à l’eau ont souvent une valeur de revente plus élevée que les propriétés sans accès à l’eau, car ils sont généralement en demande, surtout dans les régions touristiques.
  • Écosystèmes uniques : Les terrains près de l’eau peuvent abriter des écosystèmes spéciaux, y compris une faune et une flore uniques. Cela peut être un attrait pour les amateurs de nature et de conservation.

Cependant, il y a des considérations importantes à prendre en compte lorsque vous envisagez l’achat d’un terrain avec accès à l’eau :

  • Risques d’inondation : Les zones près de l’eau peuvent être plus exposées aux inondations, ce qui peut entraîner des risques pour la propriété et l’assurance habitation.
  • Réglementations environnementales : Les lois sur la protection des zones côtières et des rives des cours d’eau peuvent imposer des restrictions sur les activités de construction et d’aménagement.
  • Entretien et coûts : L’entretien des zones riveraines peut nécessiter des coûts supplémentaires pour la stabilisation des berges, la prévention de l’érosion, et l’entretien de l’accès à l’eau.
  • Accessibilité : Assurez-vous que l’accès à l’eau est pratique et sécurisé. La présence d’une plage publique ou d’un quai privé peut être un avantage.

En conclusion, la proximité d’un accès à l’eau peut être un atout majeur lors de l’achat d’un terrain en raison des avantages récréatifs, esthétiques et de développement. Cependant, il est essentiel d’évaluer les avantages par rapport aux inconvénients potentiels, y compris les coûts d’entretien et les réglementations environnementales, pour prendre une décision éclairée. Une recherche minutieuse, des consultations avec des experts en immobilier et une compréhension des lois locales sont recommandées avant d’acheter un terrain avec accès à l’eau.

Activités de loisirs motorisées

Y a-t-il des restrictions sur l’utilisation de véhicules motorisés, motoneiges, tout-terrain VTT, bateaux, motocross, etc., lors de l’achat d’un terrain au Québec?

Si vous envisagez des activités de loisirs motorisées, assurez-vous de comprendre les règles locales qui s’appliquent. Lors de l’achat d’un terrain au Québec en envisageant des activités de loisirs motorisées, il est important de tenir compte de certaines recommandations :

  • Recherchez les réglementations locales : La réglementation varie selon les municipalités. Il est crucial de connaître les règles spécifiques pour l’emplacement du terrain que vous envisagez.
  • Contactez les autorités locales : Les municipalités peuvent fournir des informations sur les zones désignées, les horaires, les restrictions saisonnières et les permis nécessaires pour ces activités. Il est judicieux de les contacter.
  • Consultez un avocat spécialisé : Un avocat en droit immobilier peut vous aider à comprendre les aspects juridiques et à vous assurer de la conformité aux lois locales.
  • Clarifiez vos besoins : Discutez de vos intentions spécifiques pour l’utilisation du terrain, car les règlements varient en fonction du type de véhicules et des activités prévues.
  • Responsabilité environnementale : Soyez conscient de l’importance de minimiser les impacts environnementaux. Cela implique de prendre des mesures pour protéger la nature.
  • Vérification diligente : Avant d’acheter le terrain, assurez-vous de réaliser une vérification diligente approfondie pour comprendre les restrictions, les obligations légales et les coûts associés à l’utilisation du terrain pour les activités de loisirs motorisées.

Gardez à l’esprit que la clarté et la conformité avec les lois locales sont essentielles pour éviter des problèmes juridiques et environnementaux futurs. N’hésitez pas à consulter un expert en droit immobilier pour vous assurer de bien comprendre toutes les implications de l’achat d’un terrain pour vos activités de loisirs motorisées.

Construction de dépendances

Existe-t-il des règles spécifiques concernant la construction de dépendances, telles que des garages ou des hangars ?

Les règles de construction des dépendances peuvent varier. Informez-vous sur les exigences locales. Ces règles concernant la construction de dépendances, comme des garages, des hangars ou d’autres structures similaires, peuvent varier en fonction de la localisation du terrain et des réglementations locales. Ces règles sont généralement établies par les autorités municipales ou provinciales et visent à régir la construction de bâtiments accessoires pour garantir la sécurité, la cohérence architecturale et la conformité aux normes environnementales. 

Voici quelques détails importants à comprendre :

  • Zonage et réglementations locales : Les règles de construction des dépendances sont souvent définies dans les règlements de zonage locaux. Ces règlements déterminent où et comment les dépendances peuvent être construites sur un terrain donné. Ils spécifient généralement les dimensions maximales autorisées, la distance minimale par rapport aux limites du terrain, et d’autres caractéristiques importantes.
  • Permis de construction : Dans de nombreuses juridictions, la construction de dépendances nécessite un permis de construction. Ce permis est délivré par les autorités locales après l’examen du projet de construction pour s’assurer de sa conformité aux réglementations en vigueur.
  • Conformité aux normes du bâtiment : Les dépendances doivent respecter les normes du bâtiment, y compris les règles relatives à la structure, à l’électricité, à la plomberie et à d’autres aspects de la construction. Ces normes visent à garantir la sécurité et la durabilité des structures.
  • Protection de l’environnement : Les réglementations locales peuvent inclure des exigences visant à protéger l’environnement, comme la gestion des eaux pluviales, la préservation de la végétation, la prévention de l’érosion, et la gestion des déchets de construction.
  • Architecte ou ingénieur : Dans certains cas, la construction de dépendances de grande taille ou complexes peut nécessiter l’implication d’un architecte ou d’un ingénieur pour garantir la sécurité et la stabilité de la structure.
  • Covenants et règles de quartier : Dans certains développements résidentiels, il peut y avoir des covenants, conditions et restrictions (CCR) ou des règles de quartier qui régissent la construction de dépendances. Il est essentiel de vérifier si de telles règles s’appliquent à la propriété.

Il est important de se renseigner sur les règlements locaux en matière de construction de dépendances avant d’entreprendre un projet de construction. Le non-respect de ces règles peut entraîner des sanctions légales et des problèmes de conformité. Consulter les autorités locales, faite examiner vos plans de construction par un professionnel si nécessaire, et vous assurer de respecter toutes les réglementations en vigueur avant de commencer la construction de dépendances sur un terrain.

Clôtures et limites de propriété

Y a-t-il des restrictions sur les clôtures ou les limites de propriété ? 

Les règles concernant les clôtures peuvent affecter l’aménagement de votre terrain. Au Québec, comme dans de nombreuses autres juridictions, il existe des règles et des réglementations concernant les clôtures et les limites de propriété. Ces règles visent à régir la construction, l’entretien et l’apparence des clôtures et à définir les droits et obligations des propriétaires de terrains adjacents. 

Voici quelques détails importants à comprendre concernant les clôtures et les limites de propriété au Québec :

  • Règles de zonage et de lotissement : Les règlements de zonage locaux et les plans de lotissement peuvent établir des règles spécifiques pour les clôtures, notamment leur hauteur maximale, leur emplacement par rapport à la ligne de propriété, et les matériaux autorisés.
  • Partage des coûts : Au Québec, la construction et l’entretien des clôtures le long des limites de propriété sont généralement partagés à parts égales entre les propriétaires des terrains adjacents. Il est important de bien communiquer et de s’entendre sur les coûts avec le voisin.
  • Autorisations et permis : Dans certaines situations, notamment lorsque des règlements de zonage sont en jeu, un permis de construction de clôture peut être requis. Il est essentiel de vérifier auprès des autorités locales si un permis est nécessaire.
  • Clôtures partagées : Lorsque deux propriétaires partagent une clôture, ils peuvent établir un accord écrit détaillant les responsabilités, les coûts et l’entretien de la clôture.
  • Clôtures de protection et de sécurité : Dans certains cas, il peut y avoir des exigences spéciales en matière de clôtures pour des raisons de sécurité ou de protection, par exemple autour d’une piscine.
  • Limites de propriété : Il est crucial de s’assurer que la clôture est construite sur la ligne de propriété correcte. Une délimitation incorrecte peut entraîner des litiges avec les voisins.
  • Clôtures et servitudes : Il est essentiel de vérifier si des servitudes, qui sont des droits d’accès ou d’utilisation détenus par des tiers, affectent la construction de la clôture.
  • Apparence et matériaux : Les règlements locaux peuvent également dicter l’apparence et les matériaux des clôtures pour préserver l’esthétique du quartier.

Il est conseillé de consulter les autorités locales et de vérifier les règlements de zonage spécifiques de votre municipalité avant de construire une clôture. La communication avec les voisins est également cruciale pour éviter les conflits et pour s’assurer que les clôtures sont construites conformément aux règles locales. Une compréhension claire de ces règlements est essentielle pour éviter des litiges coûteux et des problèmes liés aux clôtures et aux limites de propriété.

Proximité des services médicaux

Le terrain est-il situé à proximité d’un hôpital ou de services médicaux d’urgence ?

La proximité des services médicaux peut être cruciale en cas d’urgence. Évaluez la distance aux établissements de santé.

Accessibilité hivernale

Le terrain est-il accessible par une route entretenue en hiver ?

L’accessibilité hivernale peut être essentielle. Assurez-vous que le terrain est accessible toute l’année. Elle se réfère à la capacité de pouvoir accéder à ce terrain en toute sécurité pendant la saison hivernale, lorsque des conditions météorologiques défavorables telles que la neige, la glace et le froid extrême peuvent rendre la circulation difficile. C’est un facteur essentiel à considérer lorsque l’on envisage d’acheter un terrain au Québec ou dans d’autres régions soumises à des hivers rigoureux. 

Voici quelques détails importants à comprendre concernant l’accessibilité hivernale d’un terrain :

  • Routes d’accès hivernal : La première chose à considérer est la qualité et l’entretien des routes qui mènent au terrain. Les routes non entretenues en hiver ou difficiles d’accès peuvent rendre l’approvisionnement en services tels que l’électricité, l’eau, ou le chauffage plus complexe.
  • Déneigement : Il est important de savoir si les routes menant au terrain sont déneigées régulièrement par les autorités locales ou si les propriétaires sont responsables de leur propre déneigement. Les coûts et la fréquence du déneigement peuvent varier.
  • Accessibilité aux services publics : L’accessibilité hivernale peut également influencer la disponibilité et l’accès aux services publics essentiels tels que les écoles, les soins de santé, les épiceries, etc.
  • Accès à la propriété : Assurez-vous que le terrain lui-même est accessible en hiver. Cela signifie qu’il doit y avoir une voie d’accès dégagée menant à la propriété, de préférence une allée ou un chemin déneigé.
  • Systèmes de chauffage et d’isolation : Envisagez les besoins de chauffage et d’isolation en hiver. Une bonne isolation et un système de chauffage efficace sont essentiels pour faire face aux températures froides.
  • Équipement de déneigement : Si le terrain est situé dans une région où l’accessibilité hivernale est un défi, il peut être nécessaire de posséder un équipement de déneigement personnel, comme une souffleuse à neige ou un véhicule tout-terrain, pour maintenir les voies d’accès en bon état.
  • Vivre en zone rurale : Il est important de comprendre que dans de nombreuses zones rurales, l’accessibilité hivernale peut être un défi, et les routes peuvent ne pas être déneigées avec la même fréquence que dans les zones urbaines.
  • Droit de passage des autorités locales offrant des services essentiels : Est-ce que les autorités locales comme la police, les pompiers, Hydro-Québec, Bell, Vidéotron, Ville et municipalité et autres autorités locales ont des droits de passage sur le terrain? Cela peut être essentiel pour garantir l’accès en cas d’urgence. Assurez-vous de comprendre les modalités de ce droit de passage, y compris qui en est responsable et comment il est géré en pratique.
  • Droits de passage par les voisins : Renseignez-vous sur l’existence de droits de passage éventuels par les voisins pour accéder à leur propre propriété. Les servitudes de passage peuvent affecter l’accès à votre terrain, en particulier en hiver. Il est important de savoir si de tels droits existent et comment ils sont utilisés.
  • Borne d’accès pour les pompiers : Vérifiez la distance entre la borne d’accès la plus proche pour les pompiers (bornes-fontaines) et votre terrain. En cas d’incendie, l’accès rapide à l’eau est essentiel pour éteindre les flammes. Si la borne d’accès est éloignée, cela peut affecter la rapidité d’intervention en cas d’incendie. Assurez-vous de connaître la distance à parcourir pour atteindre la borne la plus proche.

En ajoutant ces points, vous contribuerez à une compréhension plus complète de l’accessibilité hivernale de la propriété, en mettant l’accent sur la sécurité et l’efficacité des secours en cas d’urgence. Ces considérations peuvent avoir un impact significatif sur la décision d’achat d’un terrain, en particulier dans les régions où les hivers sont rigoureux.

Élevage d’animaux de compagnie ou d’animaux d’élevage

Y a-t-il des restrictions sur l’élevage d’animaux de compagnie sur le terrain, comme des chiens, des poules, des lapins, des vaches, des chevaux ou autres ?

Si vous avez des animaux, il est important de comprendre les règles concernant l’élevage sur le terrain. Au Québec, les règles concernant l’élevage d’animaux de compagnie ou d’animaux d’élevage sur un terrain peuvent varier en fonction de la municipalité ou de la région. Pour savoir ce qui est permis sur un terrain spécifique, vous pouvez suivre ces étapes :

  • Municipalité locale : La première étape consiste à contacter la municipalité locale où se trouve le terrain. Les règles concernant l’élevage d’animaux, qu’il s’agisse d’animaux de compagnie ou d’animaux d’élevage, sont généralement régies par les règlements municipaux. Vous pouvez généralement trouver les coordonnées de la municipalité sur son site web officiel.
  • Service d’urbanisme ou d’environnement : Une fois en contact avec la municipalité, demandez à être dirigé vers le service d’urbanisme ou d’environnement. Ce service est généralement responsable de la réglementation liée à l’utilisation des terrains.
  • Posez des questions spécifiques : Lorsque vous contactez le service d’urbanisme, posez des questions spécifiques sur les règles concernant l’élevage d’animaux sur le terrain en question. Vous pouvez demander combien d’animaux sont autorisés, s’il y a des restrictions de taille, de bruit, de clôture, etc.
  • Règlements municipaux : Les règlements municipaux concernant l’élevage d’animaux sont souvent disponibles en ligne ou peuvent être consultés en personne au bureau municipal. Prenez le temps de lire ces règlements pour comprendre pleinement ce qui est permis et ce qui ne l’est pas.
  • Consultez un avocat spécialisé : Si les règlements sont complexes ou si vous avez des questions spécifiques sur votre situation, il peut être judicieux de consulter un avocat spécialisé en droit immobilier au Québec. Un avocat peut vous aider à interpréter les règlements et à comprendre vos droits et obligations en matière d’élevage d’animaux.

En résumé, pour savoir ce qui est permis en termes d’élevage d’animaux sur un terrain au Québec, vous devriez contacter la municipalité locale et son service d’urbanisme ou d’environnement. Ils seront en mesure de vous fournir des informations précises sur les règles et les restrictions qui s’appliquent dans la région spécifique où se trouve le terrain que vous envisagez d’acheter.

Énergie renouvelable

Existe-t-il des règles sur l’utilisation de panneaux solaires ou d’autres sources d’énergie renouvelable sur le terrain ?

Les règles sur l’utilisation de sources d’énergie renouvelable peuvent influencer votre installation. Renseignez-vous à ce sujet.

Lorsque vous envisagez d’acheter un terrain au Québec, il est judicieux de prendre en considération les opportunités d’utiliser des sources d’énergie renouvelable, telles que les panneaux solaires. 

Voici quelques points à garder à l’esprit sans entrer dans les détails :

  • Possibilités d’incitations : Renseignez-vous sur les opportunités d’obtenir des incitations financières pour les projets d’énergie renouvelable. Le Québec propose souvent des programmes visant à soutenir les propriétaires dans l’adoption de solutions écoénergétiques.
  • Respect des normes et réglementations : Soyez conscient qu’il peut y avoir des normes et des réglementations en place pour garantir que les installations d’énergie renouvelable sont effectuées conformément aux lois locales. Assurez-vous de respecter ces règles pour un projet en toute légalité.
  • Raccordement au réseau électrique : Si vous envisagez de connecter votre système d’énergie renouvelable au réseau électrique, cela peut nécessiter des démarches administratives. Soyez préparé à traiter avec les fournisseurs de services publics et à respecter leurs exigences.
  • Orientation et emplacement : L’emplacement et l’orientation de votre installation d’énergie renouvelable sont des facteurs cruciaux pour optimiser la production. Pensez à choisir un emplacement approprié sur votre terrain pour tirer le meilleur parti des ressources renouvelables.
  • Consultation professionnelle : Il est fortement recommandé de consulter des professionnels de l’énergie renouvelable ou des installateurs qualifiés pour obtenir des conseils sur la faisabilité de votre projet. Ils peuvent vous aider à concevoir un système adapté à votre terrain.
  • Autoconsommation : Gardez à l’esprit qu’au Québec, vous pouvez choisir l’autoconsommation d’énergie renouvelable, où l’électricité produite est principalement destinée à répondre à vos besoins personnels.

En résumé, explorez les opportunités d’énergie renouvelable en gardant ces points en tête. Veillez à respecter les réglementations locales et à consulter des professionnels pour garantir un projet réussi. Les détails spécifiques peuvent varier en fonction de la municipalité et du projet, il est donc important de rechercher des informations locales pour des directives plus précises.

Restrictions sur les pesticides

Le terrain est-il soumis à des restrictions sur l’utilisation de pesticides ou d’herbicides ?

Les restrictions sur les pesticides peuvent influencer votre aménagement paysager. Renseignez-vous sur ces contraintes.
Il existe des règles et des réglementations en ce qui concerne l’utilisation de pesticides et d’herbicides pour protéger l’environnement et la santé publique. Voici une information générale que vous pouvez partager avec vos clients sans entrer dans les détails spécifiques pour éviter toute responsabilité potentielle :

Lorsque vous envisagez d’acheter un terrain au Québec, il est important de savoir que des règles régissent l’utilisation de pesticides et d’herbicides. Ces règlements visent généralement à protéger l’environnement et la santé publique en restreignant l’utilisation de produits chimiques potentiellement nocifs.

Voici quelques points clés à considérer :

  • Restrictions locales : Les règlements concernant l’utilisation de pesticides peuvent varier d’une municipalité à l’autre. Il est donc essentiel de consulter les règles locales en vigueur. Les municipalités peuvent avoir des ordonnances ou des règlements spécifiques qui limitent l’utilisation de pesticides, en particulier près des cours d’eau, des lacs ou dans les zones résidentielles.
  • Produits homologués : Les produits chimiques destinés à l’usage commercial ou domestique doivent être homologués par les autorités compétentes. Il est crucial de s’assurer que les produits que vous envisagez d’utiliser sont conformes aux normes d’homologation locales.
  • Protection de l’eau potable : Certains règlements visent à protéger la qualité de l’eau potable. Ils peuvent restreindre l’utilisation de pesticides près des sources d’eau potable.
  • Consultation locale : Avant d’utiliser des pesticides ou des herbicides sur un terrain, il est conseillé de consulter les autorités locales ou les services environnementaux pour obtenir des informations sur les restrictions spécifiques de votre région.
  • Alternatives respectueuses de l’environnement : Il peut être judicieux d’explorer des alternatives respectueuses de l’environnement pour la gestion des plantes indésirables, telles que des méthodes biologiques ou mécaniques.

En résumé, il est essentiel de se renseigner sur les règles locales concernant l’utilisation de pesticides et d’herbicides avant d’acheter un terrain au Québec. Les restrictions peuvent varier d’une région à l’autre, il est donc important de rechercher des informations locales pour garantir une conformité adéquate. Le respect de ces règlements contribue à la préservation de l’environnement et à la santé de la collectivité.

Incitatifs gouvernementaux pour l’aménagement écologique

Y a-t-il des programmes d’incitatifs gouvernementaux pour l’aménagement écologique du terrain ? 

Les programmes d’incitatifs gouvernementaux peuvent offrir des avantages pour des aménagements écologiques. Informez-vous sur les possibilités. Lorsque vous envisagez un aménagement écologique sur un terrain au Québec, il peut y avoir la possibilité de trouver des subventions, du financement, des programmes ou des certifications qui soutiennent des pratiques durables. 

Cependant, veuillez noter que la disponibilité de tels avantages peut varier et évoluer. Il est de la responsabilité du client de rechercher et de vérifier la présence de tels incitatifs ou programmes, en consultant le gouvernement du Québec, les autorités locales, les ministères concernés ou les institutions financières. Ils pourront fournir des informations actualisées sur les incitatifs actuellement disponibles pour des projets d’aménagement écologique.

Gestion des déchets

Le terrain est-il soumis à des restrictions sur la gestion des déchets, comme le compostage ou le recyclage ?

La gestion des déchets peut être réglementée. Comprenez les règles concernant le compostage, le recyclage et la gestion des déchets sur le terrain.
Au Québec, la gestion des déchets est généralement réglementée par des règles et des normes en matière d’environnement et de santé publique. Lorsque vous achetez un terrain au Québec, il est important de comprendre les règles et les responsabilités liées à la gestion des déchets

Voici des informations générales sur ce sujet que vous pouvez partager avec vos clients lorsqu’ils envisagent d’acheter un terrain :

  • Collecte des déchets : La collecte régulière des déchets, y compris les ordures ménagères, est généralement gérée par les services municipaux ou par des entreprises de collecte de déchets. Les clients doivent s’informer auprès de la municipalité pour savoir quand et comment les déchets sont collectés.
  • Recyclage : Au Québec, il existe des programmes de recyclage pour les matériaux recyclables tels que le papier, le carton, le plastique et le verre. La plupart des municipalités ont des bacs de recyclage et des centres de collecte pour ces matériaux.
  • Compostage : Le compostage est encouragé au Québec pour réduire la quantité de déchets envoyés aux décharges. Les clients peuvent généralement composter les déchets organiques, comme les restes de cuisine et les déchets de jardin, sur leur propre terrain.
  • Déchèterie : Les clients peuvent également avoir accès à des déchèteries locales pour éliminer des déchets encombrants, des appareils électroménagers ou d’autres déchets spéciaux. La fréquence et l’emplacement de ces déchèteries peuvent varier en fonction de la municipalité.
  • Responsabilités du client : Il incombe généralement au propriétaire du terrain de gérer ses déchets conformément aux règles locales. Cela peut inclure la mise en place de bacs de recyclage, la participation au compostage, et la disposition appropriée des déchets.
  • Vidanges : La gestion des eaux usées, y compris la vidange des fosses septiques, est également de la responsabilité du propriétaire. Les clients doivent se conformer aux normes et réglementations locales pour le traitement des eaux usées.
  • Dépôts et lieux de collecte : Les clients peuvent s’informer auprès de la municipalité sur les dépôts autorisés ou les lieux de collecte des déchets encombrants, le cas échéant.

Il est important que les clients comprennent leurs responsabilités en matière de gestion des déchets lorsqu’ils achètent un terrain au Québec. Ils devraient prendre contact avec les autorités locales pour obtenir des informations spécifiques sur la collecte des déchets, le recyclage, le compostage et d’autres aspects liés à la gestion des déchets dans leur région.

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